Vous le savez la guerre civile fait rage dans les Deux-Sèvres à Sainte-Soline. Les éco-terroristes ont manifesté sans demander l’autorisation (ce qui est normal ça s’appelle le droit de manifester) pour empêcher des pelleteuses de faire un trou. S’en est suivi une scène d’une violence incroyable où des néo-zadistes mangeurs de chabichou vegan s’en sont pris aux forces de l’ordre. Fort heureusement, l’ordre triomphe, et nos confrères rapportent que couteaux matraques, artifices bidons d’essences et autres armes par destination ont été saisis. Notre devoir de journalistes c’est de dévoiler le portrait de l’un de ses éco-terroristes pour montrer le contre-exemple que notre jeunesse ne doit pas suivre. Laurent Parpaing, présumé bûcheron , mais plus vraisemblablement éco-terroriste des Deux-Sèvres a été arrêté. Reportage par Edwy-Plein air.
Ce département des Deux-Sèvres est particulier. Coincé entre le seuil du Poitou et le bassin Aquitain, à la croisée du bocage chouan et des terres radicales-socialistes de bouffeurs de cassoulet (et de curés), ce département fait figure d’intrus. Ces particularismes locaux en ont fait une terre d’asile de baba-cools en tous genres cohabitant étrangement de façon très pacifique avec des agriculteurs millénaristes en chemises à carreau. Pacifiquement, du moins, jusqu’à la création de bassines, mettant le feu aux poudres d’un département qui fut parmi les plus paisibles jusqu’à présent.
Laurent Parpaing est l’un de ces éco-terroristes.
Alors qu’il roulait dans sa Citroën C15 (NDLR : tous les deux-sévriens rouent en Citroën C15 …. en tout cas ceux qui n’ont pas abandonné la traction motorisée pour la remplacer par des chariots tractés par des chèvres angoras) il se fait arrêter par un barrage routier en se rendant à Sainte Soline depuis Melleran.
Croyant se faire arrêter pour stupéfiants à cause du chanvre qu’il transportait pour des travaux d’isolation, ce qui lui arrive souvent « les chiens stupéfiants ne savent pas reconnaître le chanvre du chichon, ils pètent souvent un câble dans notre département qui sent le chanvre partout sur sa moitié sud», quelle ne fut pas sa surprise quand il se fit arrêter par la brigade anti-terroriste. Laurent Parpaing prétend être bucheron-agriculteur en polyculture élevage. Sa voiture comprenait pourtant 3 haches, une tronçonneuse, des feux d’artifices, un bidon d’essence, 12 parpaings, 3 aérosols, 1 bouteille de gaz, 1 équipement de protection, 1 pied de biche. 1 jeu de pétanque.
De quoi blesser des gendarmes et caillasser un car de CRS. L’intéressé s’en défend.
« on va quand même pas nous priver maintenant de jouer à la pétanque ? »
Laurent Parpaing – éco-terroriste
« Je suis bûcheron agriculteur et ayant un tout petit champ, je me suis fait exproprier mon champ pour construire une bassine, je suis obligé de compléter mes revenus en faisant des travaux agricoles chez d’autres paysans et quelques petits travaux d’aménagements extérieurs. »
La hache ? « Je suis bûcheron, et même si j’aimerais couper du bois avec les tripes de Macron, la hache reste un outil plus efficace »
La tronçonneuse ?« pareil quand je m’attaque à un châtaigner, j’ai besoin de davantage de puissance et ma tronçonneuse marche à essence, contrairement à Macron, elle ne tourne pas à la coke. ». Les feux d’artifices ? « J’ai un verger avec des cerisiers, c’est le seul moyen pour faire fuir les oiseaux, si je n’avais pas ça avec le gel je ne pourrais rien vendre »
Les parpaings, « j’ai un devis signé pour de la maçonnerie paysagère , et le pied de biche ça sert à décoffrer, ça s’appelle d’ailleurs pince à décoffrer en magasin de bricolage, bande de journalistes bobos !»
1 aérosol ? « Une bombe de peinture pour tracer mes tranchées avant de terrasser. j’ai bien dit terrasser ça veut dire que j’ai du matériel pour creuser votre tombe si vous continuez de me chercher !»
1 équipement de protection ? « quand le poudré il mange des homards avec la préfète, il met bien une serviette pour pas salir son costard, ben moi c’est pareil j’ai une tenue de travail pour pas me salir ».
1 bouteille de gaz ? « Quand je pars une semaine en chantier j’ai mon réchaud pour mon casse-croûte. Contrairement à Delphine Pédalo, la députée soi-disant écolo du coin qui n’a pas voté les repas à un euro pour les étudiants et qu’on voit pas à Sainte Soline, je n’ai pas les moyens de me payer le restau ».
Le jeu de pétanque ? « En fin de chantier pour me détendre je joue à la pétanque. Je sais qu’à la campagne on nous prive de tout : le fait d’avoir une poste, une école ouverte, des TER, des maternités… on va quand même pas nous priver maintenant de jouer à la pétanque ? »
Comme on le voit, les organisations terroristes ont toujours un discours bien rodé, et trouvent des justifications à tout, justifications qui peuvent paraître du bon sens et manipulent les masses. Dans le doute, le parquet anti-terroriste s’est saisi de l’affaire et a condamné ce dangereux énergumène à perpétuité. On n’est jamais trop prudent.
Edwy Plein-Air