Après le tollé causé par le syndicat étudiant UNEF (Union Nettoyeuse des Entrées Filtrées) sur la tenue de réunions « non-mixtes racialement » en son sein ainsi que les différentes prises de paroles comme celle de Audrey Pullover, médiatique journaliste du PS (Parti Social-traitre) qui a dit que « les blancs peuvent assister aux réunions sur le racisme mais doivent se taire, et les métisses ne dire qu’un mot sur deux ». Il se trouve que la non-mixité inspire une partie de la gauche poitevine, mais cette non-mixité, fort heureusement, ne se fonde pas sur des critères raciaux. Enquête d’Edwy Plein-Air !
Chez Poitiers Coupeurs-de-Tif, la nouvelle équipe Verte Verte Rose et Jaune qui dirige la commune de Poitiers, la non-mixité ne choque pas. « Nous, on est que entre citoyens gentils co-construits, participatifs, bienveillant, positif……… » nous affirme Vincent Castel, adjoint à la ville accueillante. A y regarder de plus près il se trouve que Poitiers Coupeurs-de-tifs est à l’instigation d’une ambition départementale, qui vise à élargir son projet politique. Quand BFM TV disent que les extrémistes cherchent à promouvoir à grande échelle le grand replacement. Ainsi la vieille garde politique provinciale ventrue encravatée laissera la place à la nouvelle génération (.S) de bobos incarnée par la liste au logo vert. C’est ainsi que le collectif Vienne en Champignons, pratique également les réunions non-mixtes, pour fédérer la communauté bobo opprimée en son sein et réunir dans un groupe de parole, les bobos persécutés par les prolos populo non imposables habitants à la campagne. Ainsi les startuppeurs de Poitiers membres du collectif peuvent se retrouver qu’entre eux, sans avoir l’oppression des élus communaux de communes aussi intrinsèquement persécutantes que Adriers Chauvigny Vendeuvre ou autres villages soviétisants tels que Availle-Limouzine.
La non-mixité a aussi ses entrées au PS, et une très marginale minorité de privilégiés se plaint des agissement de la majorité. C’est ainsi que Christelle Charriot, secrétaire de mairie d’une commune rurale, croyant encore au retour de Léon Blum et Lionel Jospin, se plaint des agissements de son parti et de ses dirigeants locaux, tous aux revenus supérieur au plafond de la sécu « Je l’ai mauvaise, des réunions non-mixtes réservées aux traitres se déroulaient dans mon parti depuis 40 ans, et je l’apprends que maintenant ».
« les réunions entre intellectuels, permettent de se prémunir des railleries du bas-peuple »
Pascal Boisson du parti Ensemble-tous-seuls
La gauche radicale anti-tout n’est hélas pas en reste. Le parti Ensemble-tous-seuls de Clémentin Hautaine, est spécialiste de la tenue de réunions réservées aux seuls titulaires d’un doctorat en Science Politique. Ce qui est nécessaire car d’après Pascal Boisson, intellectuel de référence du parti, « les réunions entre intellectuels, permettent de se prémunir des railleries du bas-peuple qui n’a pas lu tout Geoffroy de Blague-Ânerie« . A LFI (La France Irritable), nous entendons des rumeurs sur le fait que des réunions non-mixtes ne se feraient qu’entre gros ronchons, bien que ces rumeurs ne soient pas étayées par les faits, car nous n’avons pas trouvé de membres de LFI qui ne soient pas de gros ronchons.
L’extrême-extrême-extrême-gauche-coupeuse-de-caténaire est-elle épargnée ? Hélas non, le NPA (Nouveau Parti Adolescent) est hélas coutumier de réunions entre jeunes lycéens, d’après Mado Boutonneuse. Et chez les trotskystes lambertistes du POI (Parti Obnubilé par l’Infiltration), une adhérente que nous ne citerons pas est formelle, « des militants se voient privés d’accès aux réunions non-mixtes réservées aux seuls casse-pieds ».
La tenue de réunions non-mixtes, et sur des critères aussi pertinents, dans un panorama politique aussi large, montre que la cause des opprimés est bien défendue, et qu’ils sont à deux doigts d’obtenir l’égalité des droits et l’égalité sociale, bien qu’il s’agisse tout de même de deux gros doigts.
Edwy Plein-air